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Antenne TNT



Télévision numérique terrestre en France

Logo de la TNT Télévision Numérique Terrestre.

La télévision numérique terrestre (TNT) en France exploite les normes DVB-TMPEG-2 pour la résolution d'image standard ou « SD » et H.264 (également appelée MPEG‑4 AVC) pour la « haute définition » (TVHD). Son lancement commercial est intervenu le 31 mars 2005.

Au total en 2013, on dénombre une soixantaine de chaînes tous genres confondus parmi lesquelles 25 chaînes nationales ainsi qu'une quarantaine de chaînes locales ne nécessitant aucun abonnement. En complément, 11 chaînes nationales payantes sont autorisées à diffuser en définition standard (SD) sur le réseau TNT français depuis mars 2006. Le lancement de la TNT HD sans abonnementNote 1 adopte la normeDVB-T et H.264 / MPEG‑4 AVC à compter du 30 octobre 2008.


Transition analogique vers numérique[modifier | modifier le code]

La France métropolitaine a achevé son basculement depuis la télévision analogique (Sécam L') vers la télédiffusion numérique le 30 novembre 2011.

Toutefois, certains réseaux câblés métropolitains ainsi que certaines installations collectives de réception par satellite exploitent toujours une modulation analogique, le plus souvent à la norme PAL BG, au lieu de la norme numérique DVB-T.

Sur un plus long terme, la télédiffusion devrait adopter la norme de DVB-T2, ce qui obligerait à un renouvellement des équipements de réception1. Toutefois en 2011, cette mesure a été reportée afin de ne pas affecter la majorité du parc d'équipements et téléviseurs non compatibles.

Principes généraux[modifier | modifier le code]

Pour recevoir la télévision numérique terrestre dite « gratuite », il convient d'utiliser une antenne recevant la bande UHF associée à un équipement adapté, capable de capter et interpréter les signaux numériques à la norme DVB-T. Ce type de démodulateur(qui est en fait un tuner-décodeur délivrant une image et un son analogiques) peut être intégré au téléviseur, ou être relié indépendamment à l'écran. Les offres payantes nécessitent un terminal de réception intégrant un accès conditionnel fourni avec l'abonnement auprès de l'opérateur. Il n'existe pas d'antenne spéciale DVB-T puisque cette norme a été conçue pour être totalement compatible avec les antennes existantes permettant de capter les signaux télé analogiques.

L'arrêt de la télévision analogique en France est effectif depuis le 29 novembre 2011, conforme à la communication de la Commission européenne ayant proposé un arrêt total des émissions analogiques en Europe au 1er janvier 2012 2. Cette date marque ainsi l'abandon officiel de l'exploitation en modulation analogique à la norme « L » et du standard de couleurs SÉCAM. Cette évolution doit permettre d'allouer les fréquences libérées à d'autres modes de télécommunication (radio numériquetélévision mobile personnelleInternet sans fil, télécommunications professionnelles, téléphonie, etc.). En France, le basculement vers le tout numérique a été progressif, région par région.

Le 29 novembre 2011 marque également l'abandon définitif du standard couleurs historique, le SÉCAM qui avait déjà été abandonné pour la plupart des autres modes de diffusion (satellite, xDSL, télé Web) à l'exception notable du câble (cependant, les réseaux Numericable d'Île-de-France ont abandonné définitivement ce standard, en 2011, et ce processus s'étendra, site par site, selon Numericable : diffuser simultanément du DVB-C, du DVB-T, et du SECAM L/L' revient trop cher [réf. nécessaire], et cette norme analogique est trop singulière [réf. nécessaire]).

Équipements de réception[modifier | modifier le code]

Logo apposé en France sur les appareils captant la TNT

Logo apposé en France sur les appareils captant la TNT HD

Le récepteur[modifier | modifier le code]

Ces équipements sont reliés à prise dite « antenne TV ». Trois types d'équipements sont distingués, selon le type d'offre qu'ils permettent de capter et restituer :

  • Récepteur ou adaptateur TNT simple, donc avec tuner Mpeg 2 ou dit « SD » (à définition standard) pour les chaînes « gratuites » (en clair) en métropole. Ces appareils ne sont plus autorisés à la vente depuis décembre 2012.
  • Récepteur ou adaptateur TNT « SD » et TVHD (Haute Définition), donc plus excactement et en fait, avec tuner Mpeg 2-4 pour les chaînes « gratuites » (en clair) en France métropolitaine et d'outre-mer ;
  • Récepteur ou adaptateur TNT Mpeg 2-4 TVHD (Haute Définition) retrocompatible " SD" pour les chaînes « gratuites » (en clair) et les chaînes à péage.

Si l'équipement n'est pas intégré à la télévision, il se présente sous la forme d'un boîtier autonome (récepteur ou adaptateur TNT "HD " à tuner Mpeg 2-4) externe à relier en HDMI (Peritel-Scart possible) au téléviseur ou sous forme de cartouche ou clé, à introduire dans un port d'extension du téléviseur (ou de l'ordinateur multimédias).

Antenne et télédistribution privée[modifier | modifier le code]

En France, en 1999, le parc de logements alimentés par antenne individuelle ou d'antennes individuelles est estimé à douze millions3.

En métropole, la TNT exploite principalement la bande de fréquences UHF (bandes IV et V). Les « aériens » (comme les classiques antennes « râteau ») peuvent parfois permettre de capter ces fréquences. Lors de l'arrêt de l'analogique, certains téléviseurs ne fonctionnent parfois plus avec les antennes intérieures.

En 1999, 60 à 70 % des ventes annuelles d'antennes est constitué d'antennes « large bande » couvrant les bandes IV et V, les 30 à 40 % restants sont des antennes « bande étroite » avec une largeur de bande de 140 MHz3.

Toutefois, certains éléments doivent être attentivement sélectionnés pour garantir une réelle efficacité pour la captation et la télédistribution des signaux TNT :

  • la performance de l'antenne sur la totalité des bandes de fréquences à recevoir (UHF) ;
  • le gain de l'antenne. Cette mention exprimée en Décibel (dB) doit généralement faire état de plusieurs valeurs ou d'un schéma (niveaux en bas, milieu et haut de bande) ;
  • les composants associés à l'antenne : connecteurspréamplificateurcoupleur (avec une antenne FM ou satellite, par exemple), les protections (parafoudreéclateur…) ;
  • la qualité et les performances du câble coaxial (« fil d'antenne ») ;
  • la fiabilité et le rendement des composants de télédistribution (amplificateursfiltresrépartiteurs, baie de télédistribution collective, découpleurs...) ;
  • le réseau de télédistribution (longueur du câble coaxialfiltres éventuels, connectique…) ;
  • la connexion terminale (prise et connectique d'antenne).

Le récepteur ou adaptateur (démodulateur numérique ou tuner) TNT adapté à la norme DVB-T doit également répondre à des spécificités concernant sa sensibilité et ses performances, notamment dans le traitement des signaux et la correction d'erreurs.

Antenne et télédistribution collective[modifier | modifier le code]

Une antenne TNT utilisée par l'opérateur CityPlay

D'après une étude de TDF de 1999, neuf millions d'antennes collectives sont installées et dans les copropriétés, le passage au numérique nécessite dans 92 % à 98 % des installations des modifications sur les filtres de la station de tête de l'antenne, pour un coût d'environ 50 francs de l'époque par prise3, soit environ dix euros.

D'après cette même étude de TDF de 1999, dans 10 % des copropriétés, le passage au numérique nécessite des modifications importantes pour un coût d'environ 1 600 francs de l'époque par prise3, soit environ trois cents euros.

En réception collective, les principaux problèmes rencontrés concernent :

  • la non-conformité des antennes (qui peuvent ne pas capter la totalité des fréquences UHF exploitées pour la TNT) ;
  • la présence ou le mauvais réglage de filtres (perturbant ou rendant impossible la restitution de tous les canaux DVB-T à recevoir) ;
  • la présence, le mauvais réglage ou l'incompatibilité des répartiteurscoupleurs et amplificateurs ;
  • le vieillissement ou l'état défectueux du réseau de câbles coaxiaux ;
  • l'exploitation d'une alimentation électrique inadaptée ou mal filtrée qui injecte des signaux parasites ;
  • l'état de la connectique terminale chez l'usager.

Contraintes et limites de la TNT[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Inconvénients de la TNT.

La réception des signaux DVB-T peut être sensiblement affectée par plusieurs phénomènes. Le choix des équipements et leur emplacement sont déterminants. Il est nécessaire de surveiller certains aspects tels que :

  • les phénomènes météorologiques pouvant agir sur la captation des signaux ou engendrer des parasites (canicule, gel, fort brouillardorageneigevent…) ;
  • les perturbations électromagnétiques (moteur électrique en fonctionnement à proximité, électricité statique, rayonnement et transmissions hautes fréquences tels que four à micro-ondesémetteur local, cellule téléphonie mobile…) ;
  • la mauvaise qualité de l'alimentation électrique (micro-coupures, parasites, hausses ou baisses significatives de la tension…) ;
  • la connectique exploitée (qualité ou vieillissement des cordons d'antenne et prolongateurs, branchements parallèles en T ou en Y sans répartiteur pouvant affecter l'impédance du circuit, mauvaise isolation galvanique).

Concernant le récepteur (adaptateur) TNT, il est conseillé de ne pas l'installer à trop grande proximité d'un téléviseur de type cathodique, d'un appareil vidéo ou multimédias (magnétoscopeDVDscopeNumériscope…), d'un téléphone portable ou sans fil ou de toute source de chaleur. Il doit être installé dans un endroit frais, aéré et isolé, à l'abri de l'humidité et des rayons solaires.

Pour des motifs comparables, l'utilisation d'antennes intérieures (sauf à proximité d'un site d'émission) est déconseillée. Une antenne intérieure est toujours moins performante et plus sensible aux perturbations domestiques (sonnette, parasites provoqués par un téléphone portable, un four à micro ondes, un ordinateur…). Pour ce type d'équipements, les mentions commerciales (« spéciale TNT »), notamment pour les antennes avec amplification électroniques ne garantissent absolument pas une captation satisfaisante des signaux DVB-T à l'intérieur d'un édifice.

Sigles, labels et logos contradictoires et confusion[modifier | modifier le code]

Il est fréquent de rencontrer des mentions commerciales ou publicitaires faisant état d'antennes « spéciales TNT » ou « adaptées spécifiquement au numérique » Ces formules ne reposent sur aucun élément technique car la norme de diffusion DVB-T est plus performante que l'ancien système analogique (Sécam L) et est justement conçue pour être compatible avec les installations pré-existantes.

Une série de sigles commerciaux ont été exploités depuis 2005, période de lancement de la TNT. Les mentions ou logos et labels européens sur la TV HD, tels que HDTV (TVHD), HD Ready (« prêt pour la Haute Définition »), Full HD (« Haute Définition Totale » ou « pleine résolution ») et HDTV 1080p (TVHD 1080p ou TVHD à résolution 1080 lignes au mode progressif) se sont multipliés, apposés sur les téléviseursvidéoprojecteursDVDscopes et autres récepteurs ou adaptateurs TNT.

Entre 2004 et fin 2008, une grande confusion a été entretenue par la distribution et les marques d'électronique afin de ne pas freiner leurs ventes avant le lancement effectif de la TNT HD (gratuite). Ainsi, la plupart des téléviseurs ou écrans même haut de gamme TVHD « Full HD » commercialisés avant l'automne 2008 ne disposent pas des circuits de réception adaptés à la « TNT HD » [réf. souhaitée].

La loi 2007-309 du 5 mars 2007 (article 19) a permis de clarifier la situation pour le public. Elle établit le calendrier rendant obligatoire le tuner DVB-T intégré aux téléviseurs neufs vendus au public :

  • Mars 2008 : tuner DVB-T pour tous les types de téléviseurs
  • Décembre 2008 : tuner TNT-HD pour les téléviseurs affichant un label HD
  • Décembre 2009 : tuner TNT-HD pour les téléviseurs de plus de 66 cm de diagonale
  • Décembre 2012 : tuner TNT-HD pour tous les téléviseurs

Offre des chaînes de la TNT[modifier | modifier le code]

France métropolitaine[modifier | modifier le code]

Les chaînes retenues pour émettre sur la TNT l'ont été en 2002 et mai 2005 par le CSA. Les sept premiers canaux correspondaient aux mêmes chaînes gratuites en diffusion terrestre analogique (et suivaient la même numérotation en diffusion numérique terrestre). Toutefois France 5 et Arte ont bénéficié chacune d'un canal à part entière pour la diffusion numérique en continu au lieu de partager le temps d'antenne du cinquième canal comme c'était le cas avec la diffusion terrestre analogique.

Depuis le 13 septembre 2007, plusieurs chaînes locales ont fait leur apparition sur la TNT française.

* Depuis octobre 2008, une partie des émissions est proposée en haute définition (HD). Sur les appareils équipés pour recevoir la HD, les chaînes 51, 52, 56 et 57 sont automatiquement implantées sur les canaux 1, 2, 6 et 7. Le canal 4 attribué à CANAL+ est passé en HD, tout en ayant l'obligation de proposer les plages en clair en SD. La part de la haute définition devrait s'accroître au fil des mois. Certains décodeurs TNT ou téléviseurs permettent de basculer automatiquement les numéros de chaînes HD sur le numéro de canal le plus faible à la place du signal SD, quand les deux canaux sont reçus simultanément, tout en offrant la possibilité de sélectionner le signal sur ces chaînes en cas de mauvaise qualité de réception du signal HD.

La chaîne dédiée à l'outremer France Ô, qui était initialement diffusée sur la TNT gratuite locale dans les départements et collectivités d’outre-mer et en Île-de-France, est passée sur la TNT gratuite nationale à partir du 15 juin 2010 (effectif sur tout le territoire à partir du 14 juillet 2010)5. Pour cette extension de diffusion, ARTE a été déplacée le 8 juin 2010 sur le multiplex R6 (à la suite de l’abandon de ce dernier multiplex de la TNT par les chaînes payantes AB1 et Canal J) afin de libérer le canal retenu sur le multiplex R1 pour France Ô6.

La chaîne Canal+ est majoritairement cryptée, normalement classée dans les chaînes payantes. Le PAF ne propose donc « que » 18 canaux gratuits, ce qui correspond à 19 chaînes (cas de La Chaîne Parlementaire Assemblée Nationale/Public Sénat partageant un même canal). Le numéro d'ordre, 1 à 19, correspond au numéro de la présélection automatique sur l'adaptateur (attribué par tirage au sort pour les nouvelles chaînes TNT).

Pour les chaînes payantes, un adaptateur spécifique généralement fourni avec l’abonnement à un bouquet de programmes est nécessaire (cet adaptateur permet la réception des chaînes gratuites). Pour des motifs techniques et de coûts de diffusion (MPEG-2 en clair + MPEG-4 payant), la majorité (8/11) des chaînes payantes ne proposent pas de "fenêtres" gratuites principalement destinées à leur promotion.

  • Chaînes nationales en clair et Canal+ : de 1 à 25
  • Chaînes locales : de 30 à 39
  • Chaînes payantes : de 40 à 49
  • Chaînes en haute définition également diffusées en clair en définition standard : de 51 à 79

(Depuis le 12 décembre 2012)


L'organisation administrative de la TNT en France

Mode de désignation des chaînes

Les 19 canaux gratuits et bientôt les 6 nouvelles chainesHD les 10 canaux payants proposées initialement ont été pourvus par le Conseil supérieur de l'audiovisuel à la suite d'un appel à candidature et à audition des groupes candidats. Les sept premiers canaux gratuits ont été attribuées d'office aux chaînes existantes qui diffusaient en analogique, un huitième à la chaîne publique parlementaire et un dernier réservé à France Télévisions.


Déploiement de la TNT et extinction du réseau analogique


De nombreuses difficultés sont apparues pour déployer la diffusion numérique avant l’extinction totale de la diffusion analogique. Notamment le schéma d’extinction totale, avec migration, en une seule étape a été abandonné. Il ne permettait pas de tenir le calendrier prévu d’arrêt total des émissions analogiques avant novembre 2011, que ce soit en France ou dans les pays voisins (notamment en Espagne).

Aussi le CSA a retenu une extinction zone par zone qui commença précocement dès 2009, avec un double plan de fréquences destiné à accélérer la finalisation de la couverture et faciliter les négociations de fréquences avec les pays voisins également demandeurs de ressources pour leurs propres déploiements24 :

  • Un plan « d’arrivée » vers lequel les différentes zones sont migrées successivement lors de leur arrêt de diffusion analogique. Ce plan prévoit de réutiliser immédiatement les fréquences des trois premières chaînes analogiques (TF1, France 2, France 3) pour y déplacer trois des multiplex numériques (respectivement R6, R3 et R4) et de libérer totalement les fréquences des trois autres chaines analogiques (France 5/Arte, M6 et Canal+). Les deux autres multiplex numériques (R2 et R3) conservent leurs fréquences lors de cet arrêt et le multiplex R5 peut éventuellement commencer à émettre. Cela libère immédiatement trois fréquences par zone de couverture et permet aux pays voisins d’achever leur déploiement.
  • Un plan « cible » qui ne sera utilisé qu’après l’extinction totale de l’analogique dans toutes les zones : les trois multiplex R1, R2 et R3 sont alors déplacés à leur emplacement définitif, ce qui libère sur le territoire national la sous-bande demandée (qui apparaîtra en fin de bande UHF dans les canaux 61 à 69) dans le « dividende numérique » pour les nouveaux services alternatifs à la télévision ; avec ce plan-cible, le multiplex R5 peut achever son déploiement national et un septième multiplex (désigné « TMP » pour « Télévision Mobile Personnelle » utilisant la norme DVB-H à destination des récepteur mobiles) peut être mis en place selon les auditions de négociation du dividende numérique, l’état du marché ou les autres besoins en matière de télévision ou autres services audiovisuels. La décision de déploiement d’un septième multiplex ou de son attribution avec la sous-bande du dividende numérique n’est pas encore prise.

Pour minimiser la gêne occasionnée auprès des spectateurs (et des chaînes qui souffriraient de réduction temporaire d’audience), un schéma ne comportant pas plus de deux plans successifs de fréquences a été retenu et ce schéma permet d’assurer la continuité de service sur au moins 2 des multiplex, capables de relayer l’information nécessaire pour les téléspectateurs qui devront effectuer le réglage de leurs adaptateurs. De plus, ce plan maximise la compatibilité finale du déploiement car il conserve dans le plan « cible » les fréquences des trois premiers réseaux analogiques pour les multiplex numériques (donc réduira les coûts d'adaptation des installations d’antennes, notamment celles disposant de filtres).

Cette proposition du CSA fait encore l’objet de négociation, mais ne semble pas susciter d’hostilité de la part de M6 et France 5/Arte dont les fréquences analogiques actuelles seront arrêtées, puisqu'au contraire ces chaînes trouvent leur place dans les trois multiplex retenus et devant conserver les fréquences analogiques actuelles historiques qui seront arrêtées et converties en multiplex numérique (car ce sont ces fréquences des trois premiers réseaux analogiques qui bénéficient déjà de la meilleure couverture partout en France) ; ce schéma est aussi celui qui permettra de dégager le plus grand nombre de ressources pour le dividende numérique (dans la sous-bande basse de la bande UHF actuelle, sachant que la bande VHF encore utilisée par Canal+ en analogique sera aussi libérée dès le premier plan « d’arrivée »).

Cependant ce schéma reste conditionné par la mesure du taux d’équipement des ménages dans les zones qui seront arrêtées prématurément dès 2009 (donc avant l’extinction totale de l’analogique prévue initialement en novembre 2011). La liste des zones arrêtées prématurément doit privilégier les zones les mieux équipées en adaptateurs TNT (en fait ce sont probablement les zones qui ont la meilleure couverture et correspondant à la première tranche déployée de la TNT comprenant les émetteurs les plus puissants), faciliter les négociations d’échanges de fréquences avec les pays voisins et donc accélérer la couverture de la TNT dans les zones frontalières et finalement réduire le nombre de petits sites d’émission nécessaires et donc le coût total de déploiement et de maintenance des nouveaux réseaux de diffusion numérique.

Aussi le schéma retenu va concerner d’abord la région de Cherbourg et l’ensemble de ses réémetteurs locaux dans le premier semestre 2009. En raison de la grande concentration en antennes collectives en Île-de-France (qui a pourtant été la première déployée, mais souffre encore de nombreux retards de couverture des foyers), cette région n’a pas été retenue. Durant le second semestre 2009, l'Alsace a été arrêtée de la même façon. En 2010, ce sera la Lorraine, Champagne-Ardenne et la Franche-Comté. Ensuite, la Bretagne, les Pays de Loire et la Basse-Normandie seront arrêtées en analogique, ainsi que l’ensemble du réseau analogique de Canal+ (libérant ainsi la totalité de la bande VHF).

En 2011, les autres zones seront arrêtées successivement à un rythme accéléré, les dernières zones étant celles comportant un grand nombre de réémetteurs locaux (principalement des zones de fort relief, mais qui incluent pourtant des zones frontalières). Le but étant que toutes les zones frontalières (constituées souvent de nombreux réémetteurs locaux de faible puissance) soient arrêtées avant la date-buttoir prévue, de faire des économies suffisantes pour les chaînes et opérateurs de multiplex leur permettant de compléter leur couverture prématurément. Ce schéma a aussi l’avantage de permettre aussi d’aller au delà même de la couverture de 85 % de la population à un coût moindre et minimise les travaux d’adaptation nécessaire pour les antennes collectives et permettra aussi aux pays voisins de la France d’accélérer aussi leur propre déploiement et de respecter leurs propres engagements au niveau européen. En novembre 2011, toutes les zones analogiques sont arrêtées et la migration du plan d’arrivée au plan cible de fréquences peut alors intervenir en quelques semaines sans difficultés techniques notables afin que le haut de la sous-bande UHF du « dividende numérique » soit utilisable dès janvier 2012 (et dès janvier 2011 pour la bande VHF).


L'offre TNTSAT de Canal+[modifier | modifier le code]

En mars 2007, le groupe Canal+ annonce qu'il proposera un accès libre par satellite aux 18 chaînes gratuites de la télévision numérique terrestre ainsi qu'à France Ô, permettant à 100 % des Français de les recevoir, en particulier dans les zones non couvertes en hertzien par la TNT. Les téléspectateurs qui le souhaitent peuvent acquérir (acheter) un récepteur satellite numérique associé à une carte à puce donnant accès à ce service, sans abonnement. En janvier 2007, Canal+ a annoncé sa décision de ne conserver qu'un diffuseur par satellite. Ainsi, l'opérateur Astra diffuse l'ensemble des offres françaises du groupe Canal+, après la fusion avec TPS (lequel exploitait Hot Bird d'Eutelsat). Le contrôle d'accès utilisé est le Mediaguard. En juin 2007, le bouquetTNTSAT est lancé dans plusieurs zones test. Ce n'est qu'en septembre 2007 que le service gratuit d'offre TNT par satellite de Canal+ sera officiellement lancé, avec les 24 programmes régionaux comprenant les documentaires et JT du service "Sat" deFrance 3. Le bouquet TNT SAT est commercialisé en France, à travers plusieurs formules commerciales (packs). Ces packs comprennent un récepteur (démodulateur satellite) et une carte à puce valable 4 ans nécessaire pour accéder à la plupart des chaînes.

Une restriction commerciale interdit "officiellement" à un expatrié français de recevoir l'offre TNTSAT hors territoire métropolitain. Canal+ interdit également aux revendeurs situés à l'étranger, de commercialiser le récepteur et la carte.

Bien avant l'arrivée de la chaîne dans la formule payante de la TNT en 2006, soit plus exactement depuis le lancement de la Télévision numérique terrestre gratuite, le 31 mars 2005, Canal+ a pu diffuser ses plages de programmes quotidiennes non cryptées (numérique en « clair »). Dès lors, la chaîne payante a pu rattraper son « taux de pénétration » national (foyers pouvant réellement visualiser ses programmes notamment en clair) selon une problématique de parc d'équipement d'antennes.

Problématique technique : depuis sa création en 1984, Canal+ s'est vu contrainte d'exploiter l'ancien réseau et sites d'émetteurs de TF135 (alors en noir et blanc 819 lignes jusqu'au 19 juillet 1983). Pour ce motif technique, la gamme des fréquences le plus souvent utilisée par la chaîne payante a été la VHF au lieu de l'UHF exploitée par toutes les autres chaînes nationales. Ainsi les millions de foyers depuis le milieu des années 1980 non abonnés à Canal+ n'ont pas jugé utile de s'équiper d'une antenne VHF pour uniquement recevoir ses programmes en clair. Il faut souligner que l'acquisition et l'installation d'un tel équipement VHF représente un coût pouvant aller de 45 à 350 euros par foyer (antenne + coupleur + installation). Le déficit national du taux de pénétration de la chaîne payante a toutefois été considérablement modifié avec l'arrivée de la TNT.

À partir de 2005, en étant diffusée par le nouveau réseau d'émetteurs TNT lesquels exploitent quasi exclusivement la gamme UHF, la question de l'antenne spécifique VHF (souvent baptisée « antenne Canal+ ») a été progressivement résolu. Dès lors, pour chaque nouveau foyer équipé en réception TNT, la chaîne rattrape son retard en termes de taux de pénétration. Ainsi, mécaniquement, alors que l'audience des chaînes nationales analogiques en clair a tendance à décroître, celle de Canal+ connaît une croissance régulière, conforme à la progression du taux d'équipement TNT.

Offre FRANSAT sur le satellite Eutelsat 5WA (ex Atlantic Bird 3)[modifier | modifier le code]

Dans un rapport du 20 octobre 200836, le Secrétariat d'État chargé de la prospective recommande la création d'une seconde offre TNT par satellite, destinée aux téléspectateurs regardant déjà les chaînes analogiques en clair par cette voie. Ainsi Eutelsatlance le 22 juin 2009 le bouquet FRANSAT depuis le satellite Atlantic Bird 3 (Ex. position Telecom). C'est en effet vers celui-ci qu'un million et demi de foyers, hors de portée des émetteurs terrestres, pointent depuis plus de 20 ans leur parabole pour capter les 6 chaînes nationales en analogique. FRANSAT poursuit ainsi sa mission d'intérêt général, favorisant le passage au tout numérique à moindre coût sans modification des paraboles existantes. Il est néanmoins nécessaire d'acheter un démodulateur spécifique labellisé Fransat avec une carte pour recevoir les programmes. En plus des 19 chaînes de la TNT et des 4 chaînes HD de la TNT, FRANSAT propose depuis le 28 octobre 2009 les 24 programmes régionaux de France 3 laissant à l'utilisateur la possibilité de regarder le ou les programmes régionaux de son choix. D'autres chaînes locales gratuites viennent enrichir l'offre (TV8 Mont Blanc, Mirabelle TV, TéléGrenoble Isère, TLP, Vosges Télévision...) ainsi que d'autres chaînes thématiques (BFM Business, KTO, Demain!, Astro Center TV...)

Depuis le printemps 2012, certaines références de téléviseurs syntonisent directement le bouquet Fransat et globalement la TNT gratuite, donc sans boîtier externe ni 2e télécommande.

Redistribution par des câblopérateurs[modifier | modifier le code]

Certains réseaux TV collectifs sont opérés et gérés techniquement par un câblopérateur. Les usagers doivent y accéder sans abonnement à l'ensemble des chaînes numériques gratuites.

Au lancement de la TNT, les signaux DVB-T n'étaient pas « redistribués en transparence » ; le « service antenne » délivré par l'opérateur n'exploitait strictement que la norme câble (DVB-C). Cela rendait les adaptateurs TNT du commerce totalement incompatibles. L'opérateur proposait la location ou la mise à disposition contre caution d'un terminal DVB-C pour chaque téléviseur de l'habitation. À partir de fin 2009, Numericable37 transforme ses têtes de réseaux pour transporter conjointement à la norme DVB-C, propre au câble, les chaînes gratuites de la TNT à la norme DVB-T. Dès lors, tous décodeurs TNT, y compris ceux intégrés au téléviseur, permettent de recevoir ces chaînes via le câble.

Procédés de numérisation et de diffusion[modifier | modifier le code]

Les images et les sons sont compressés puis transportés par le satellite Atlantic Bird 3 en direction des 115 centres de télédiffusion ou émetteurs terrestres, équipés de paraboles et de structures de traitement (encapsuleur) professionnelles dont certaines sont incompatibles avec la réception grand public.

Norme de transmission[modifier | modifier le code]

La TNT a été déployée en France selon la norme DVB-T. En 2011, il est envisagé de passer à la norme de diffusion DVB-T2 dans les années à venir38. En raison des performances accrues de cette nouvelle norme par rapport au DVB-T en termes d'occupation de spectre, il sera alors possible de générer un second dividende numérique. Cependant les téléspectateurs devront changer leur équipement car les récepteurs DVB-T actuellement diffusés (adaptateurs ou téléviseurs) sont incapables de recevoir les signaux DVB-T2.

Normes de compression et de chiffrement[modifier | modifier le code]

Compresser l'information a pour intérêt de pouvoir diffuser plusieurs chaînes sur un même canal hertzien ; là où une seule chaîne analogique pouvait l'être. Un tel regroupement de chaînes sur un même canal de diffusion s'appelle un « multiplex ». Suivant les normes adoptées, chaque multiplex offre entre 3 et 10 chaînes.

En France métropolitaine, les normes retenues pour les chaînes gratuites en simple définition sont le MPEG-2/DVB-T. Pour la diffusion gratuite en haute définition et les chaînes payantes, la norme MPEG-4 est adoptée. Dans les Départements et Collectivités ultramarines, seul MPEG-4 est employé10.

La norme de compression MPEG-4 AVC est plus évoluée que MPEG-2 Vidéo. L'adaptateur utilisé en métropole pour recevoir les chaînes gratuites en simple définition ne permet donc pas d'y recevoir les chaînes payantes ou en haute définition. Ce même adaptateur ne peut pas être employé en France d'outre-mer. En revanche, un décodeur à la norme MPEG-4 AVC permet de recevoir les chaînes gratuites en simple définition, diffusées selon la norme MPEG-2 Vidéo.

TF1, France 2, M6 et Arte sont disponibles gratuitement en haute définition (MPEG-4) à partir d'octobre 2008 en métropole, avec un adaptateur Haute Définition ou un téléviseur à la norme HD TV. Mais la majorité des adaptateurs vendus au lancement de la TNT ne permettent pas de recevoir ces chaînes ; leur remplacement est donc nécessaire. En revanche, la diffusion ultramarine débutant directement en MPEG-4, le passage à la Haute Définition y est facilitée puisque les téléspectateurs n'ont pas à changer leur adaptateur. De plus, en choisissant le MPEG-4 au lieu du MPEG-2, ce sont au moins 9 chaînes en simple définition qui peuvent être transmises au lieu de 6.

Pour la TNT payante, les programmes seront chiffrés vraisemblablement en Viaccess pour les chaînes du groupe TPS et Mediaguard pour les programmes du groupe Canal+, un terminal (décodeur) avec lecteur(s?) de carte ou contrôle d'accès, sera requis. Le procédé employé, « multicrypt » ou « simultcrypt », n'est pas connu.

Les travaux de coordination avec les diffuseurs voisins étrangers sont donc nécessaires pour éviter les perturbations d'ailleurs déjà connues aujourd'hui. Dans les zones sensibles, les futurs émetteurs TNT seront de faible puissance (50 à 300 watts) et présenteront une zone de couverture sectorielle, évitant ainsi d'arroser les pays voisins et donc les usagers français installés dans la direction protégée. L'utilisation possible de la norme MPEG-4 a été évoquée pour les sites à 3 fréquences et cela pour la diffusion de la TNT gratuite comme payante.

Modes de diffusion[modifier | modifier le code]

Pour les diffuseurs, les canaux et les émetteurs étant partagés, les coûts de diffusion en TNT sont réduits par rapport à la diffusion analogique.

Toutefois, certains multiplex nécessitent un traitement spécial du signal reçu par le satellite sur le site d’émission, afin d'insérer les décrochages régionaux de France 3 ou des chaînes locales. La prise en compte de ces décrochages locaux nécessite de leur allouer pratiquement en permanence (sur le multiplex commun émis sur le satellite) une bande passante fixe suffisante pour tous les décrochages qui vont venir s'y insérer localement (et légèrement supérieure à celle dédiée aux autres chaines), sans pouvoir tenir compte de contraintes de qualité demandée par les chaines (clientes des opérateurs de multiplex) uniquement pour certains types de programmes (notamment pour le cinéma et le sport) : cela permet moins de souplesse dans la gestion dynamique de la bande passante totale occupée au même moment par toutes les chaines du même multiplex.

Des solutions alternatives sont à l’étude pour alimenter dans le futur les sites d’émission à partir de réseaux optiques terrestres qui sont de plus en plus accessibles et d’un coût de mise en œuvre et d’exploitation inférieur à celui du satellite, car ces réseaux terrestres en plein développement offrent un maillage suffisant du territoire pour desservir tous les émetteurs. Dans ce cas, l'insertion de décrochages locaux sera facilitée en les produisant directement pour chaque groupe d’émetteurs régionaux depuis une même plateforme centrale gérée par l’opérateur de multiplex et ce changement technologique permettra le développement de services plus interactifs.

La TNT est également l’occasion d’ouvrir le spectre hertzien — jusqu'ici très limité — à de nouveaux entrants. D’où l'hostilité manifestée par certaines chaînes commerciales (notamment les chaines à diffusion gratuite comme M6 et TF1) qui craignent une saturation de l’offre d’espace publicitaire et une réduction de leurs ressources de financement. Cas des frontières : la multiplication des fréquences rend difficile l'implantation de nouveaux et puissants émetteurs de télévision omnidirectionnels sur points hauts capables de desservir un ou plusieurs départements, comme il est actuellement rencontré en analogique.

En 2011, le réseau analogique (norme SÉCAM et plans de fréquences L ou L’) sera mis hors service, ses capacités seront réallouées à de nouveaux multiplex de nouvelles chaînes numériques (uniquement dans la bande UHF) ou d’autres services de communication ou de radiodiffusion. La bande VHF ne sera plus utilisée pour la télévision mais probablement pour de nouveaux services numériques de communication mobile. Les évolutions des normes de compression permettant de multiplier le nombre de chaînes diffusées ou (si une équation économique est trouvée aussi bien côté terminaux que diffuseurs), d'améliorer leur qualité (TVHD, relief, etc.).

Il n’est actuellement plus question d’augmenter le nombre d'émetteurs principaux et donc, a fortiori, les réémetteurs secondaires, eux, pour la desserte d'appoint limitée et très localisée (cependant des relais isofréquences de faible puissance peuvent combler certaines zones d’ombres au sein des régions normalement couvertes).

Toutefois, avec l'extinction anticipée de certains émetteurs analogiques stratégiques, une possibilité de leurs ressources pour diffuser des multiplex supplémentaires en TNT, diffuser davantage de chaînes payantes en qualité HD ou pour étendre la couverture de certaines chaines à diffusion régionale locale. L’extinction anticipée rendrait également possible d'étendre la couverture des multiplex existants, notamment dans certaines zones frontalières mal desservies et où la diffusion simultanée de l'analogique et du numérique n’a pas été possible.

Réseau de télédiffusion[modifier | modifier le code]

En France, l'architecture du réseau de télédiffusion de la TNT comprend :

  • Les sources (vidéoaudio et données) retransmises par les relais ou liaisons de contribution par satellite, faisceau hertzien ou fibre. Ces images, sons et données numériques proviennent des éditeurs de contenus (chaînes ou opérateurs de télévision) ainsi que des gestionnaires du contrôle d'accès pour les chaînes à péage.
  • Les sites de télédiffusion « primaires » régionaux comprenant antennes de réception et d'émission, récepteurs professionnels (liaisons de contribution), émetteurs de moyenne ou forte puissance et éventuellement équipements de multiplexage/encodagepour injecter des programmes locaux.
  • Les sites de ré-émission « secondaires » urbains comprenant récepteurs professionnels et l'émetteur associé à un amplificateur moyenne ou faible puissance.
  • Les sites de ré-émission « tertiaires » rurbains) exploitant des systèmes d'antenne de réception / ré-émission avec amplification (relais « actifs »).
  • Les sites de ré-émission « tertiaires » locaux) exploitant des systèmes d'antenne de réception / ré-émission linéaire (relais « passifs »).

La technologie numérique et la norme DVB-T peuvent permettre d'exploiter les avantages d'une diffusion isofréquence (un seul et même canal de diffusion sur une large zone à couvrir voire sur un plan national) ainsi que les répéteurs locaux à faible coût (relais de technologie gap filler).

Les réseaux TNT sont gérés par l'Agence des fréquences (ANFR) ainsi que par les opérateurs techniques tels que les deux principaux acteurs du secteur TDF (ex-TéléDiffusion de France) et Towercast.

Liste des principaux émetteurs TNT :

  • Paris/Tour Eiffel
  • Paris Nord/Sannois
  • Paris Sud/Villebon
  • Paris Est/Chennevières
  • Mantes/Maudétour-en-Vexin
  • Orléans/Trainou
  • Bourges/Neuvy-Deux-Clochers
  • Tours/Chissay
  • Chartres/Montlandon
  • Chartes/Les Hauts Saumons
  • Reims/Hautvilliers
  • Troyes/Les Riceys
  • Mézières/Sury
  • Nancy/Malzéville
  • Bar-le-Duc/Willeroncourt
  • Epinal/Bois de la Vierge
  • Metz/Luttange
  • Longwy/Bois de Châ
  • Forbach/Kreuzberg
  • Strasbourg/Port du Rhin
  • Strasbourg/Nordheim
  • Mulhouse/Belvédère
  • Besançon/Lomont
  • Besançon/Montfaucon
  • Dijon/Nuits-Saint-Georges
  • Auxerre/Molesmes
  • Lille/Bouvigny
  • Dunkerque/Mont des Cats
  • Boulogne/Mont Lambert
  • Maubeuges/Rousies
  • Valenciennes
  • Amiens/St-Just en Chaussée
  • Hirson/Landouzy
  • Villers-Cotterêts
  • Sens/Gisy-les-Nobles
  • Autun/Bois du Roi
  • Lyon/Fourvière
  • Lyon/Mont-Pilat
  • Gex/Mont Rond
  • Grenoble/Chamrousse
  • Grenoble/Tour Sans Venin
  • Chambéry/Mont du Chat
  • Chamonix/Aiguille du Midi
  • Saint-Etienne/Croix-de-Guisay
  • Privas/Crête de Blandine
  • Le Puy/Mont Denise
  • Clermont-Ferrand/Le Puy de Dôme
  • Saint-Flour/Vabres
  • Aurillac/La Bastide du Haut-Mont
  • Avignon/Mont Ventoux
  • Marseille/Grande Etoile
  • Marseille/Pomègues
  • Serres/Nez de Beaumont
  • Gap/Mont Colombis
  • Digne/Haut Saumon
  • Digne/Les Fourches
  • Manosque/Mont des Espels
  • Sisteron/Le Colet du Page
  • Oraison/Font des Oiseaux
  • Barcelonnette/Le Pré aux Chêvres
  • Barcelonnette/Batterie du Cuguret
  • Toulon/Cap Sicié
  • Hyères/Cap Bénat
  • Saint-Raphaël/Pic de l'Ours
  • Nice/Mont-Alban
  • Menton/Cap Martin
  • Pignans/Notre-Dame des Anges
  • Ajaccio/Coti Chiavari
  • Bastia/Serra di Pigno
  • Corte/Antisanti
  • Rouen/Grand-Couronne
  • Le Havre/Harfleur
  • Caen/Mondeville
  • Caen/Mont Pinçon
  • Cherbourg/Digosville
  • Mortain
  • Alençon/Mont d'Amain
  • Rennes/St-Pern
  • Brest/Roc Trédudon
  • Vannes/Moustoirac
  • Lorient/Plœmeur
  • Nantes/Haute Goulaine
  • Saint-Nazaire/Etoile du Matin
  • Angers/Rochefort-sur-Loire
  • Le Mans/Mayet
  • Niort/Maisonnay
  • Poitiers/Hôpital Des Champs
  • La Rochelle/Mireuil
  • Limoges/Puy Las Rodas
  • Limoges/les Cars
  • Guéret/St-Léger en Guéretois
  • Argenton-sur-Creuse/Malicornay
  • Brive/Lissac
  • Bordeaux/Bouliac
  • Bergerac/Audrix
  • Bayonne/La Rhune
  • Toulouse/Pechbonnieu
  • Toulouse/Pic du Midi
  • Montpellier/Saint-Baudille
  • Carcassonne/Pic de Nore
  • Perpignan/Pic Néoulous
  • Alès/Mont Bouquet







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